J’ai pris les clés de sa cage de chasteté, il m’a attachée en couche

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il y a 4 ans

Je suis en collocation depuis bientôt deux ans avec Fred. C’est un colocataire respectueux, agréable parce qu’on peut discuter de tout, il est responsable et participe à la vie de la maison que nous partageons. Avec lui je me sentais bien. Lorsque le confinement a commencé, étant privés de nos sorties habituelles, nous nous sommes rapprochés.

Beaucoup rapprochés ! Quoi que.....

Un soir, alors que nous avions beaucoup trop picolé, nous avons commencé à parler de sexualité, et de confidences érotiques en confidences, nous nous sommes un peu trop dévoilés. Il a donc appris que je n’ai rien contre de faire un câlin avec une fille, d’être un peu attachée pour être obligée de m’abandonner.

De discussions en discussions, nous avions terminé la bouteille de rhum en nous faisant des cocktails. Dans son élocution plus très claires, il m’a parlé de couche, j’ai tiré la ficelle en lui disant « comme un bébé », il n’a même pas rougi en me disant « oui, comme une bébé mais comme si on m’obligeait à l’être ». Il m’a avouée ensuite fantasmer à l’idée de vivre avec une femme dominatrice qui gérerait sa cage de chasteté. Je lui ai demandé s’il en avait une, il m’a répondu par l’affirmative. Alors j’ai voulu la voir !

Picoler du rhum assis est une chose, se lever ensuite est plus délicat. Si bien qu’au moment de se lever pour aller chercher sa cage de chasteté et me la faire voir, il titubait dangereusement. Je l’ai accompagné jusqu’à sa chambre pour l’aider à marcher sans tomber. C’était la première fois que j’y rentrais car nous avons toujours respecté notre zone d’intimité. Quand il a ouvert son placard pour prendre sa cage de chasteté dans un carton, le rhum a continué de faire ses effets. Le carton est tombé sur le sol en répandant son contenu. J’ai pu voir qu’il avait pas mal de sextoys, des plugs, des menottes, des cordes..... Nous étions pliés de rire, c’est dire notre état.

J’ai voulu voir l’autre carton mystère, c’était celui de ses petites affaires ABDL, un terme dont je ne connaissais pas vraiment la signification à l’époque. Pompette comme j’étais, je n’avais plus de retenue, j’ai donc tapé dedans pour voir ses petits secrets avant de revenir à la cage de chasteté qu’il avait dans ses mains. Elle est devenue l’objet de toutes mes attentions.

Naturellement très curieuse des choses du sexe, j’ai voulu voir comme c’était une cage de chasteté portée. J’avoue avoir honteusement menti car j’en avais vues en photo sur Fessestivites mais là, j’allais pouvoir passer du virtuel au réel. Malgré le rhum il était très gêné. Non pas parce que je pouvais l’apercevoir nu, c’était déjà arrivé, en deux ans de colocation, il arrive de petits accidents. Fred a fini par céder, je me souviens l’avoir aguiché, m’être serrée contre lui en lui disant « s’il te plait ».... Si bien qu’il s’est allongé sur le lit et a retiré son short et son slip. Cela m’a permis de voir qu’il avait une belle verge et qu’il se rasait. J’étais très excitée par cette vue autant que par l’idée de le voir mettre sa cage de chasteté. J’ai donc appris ce soir là, qu’un homme en érection ne peut plus la mettre en le voyant martyriser son sexe pour essayer d’enfiler l’anneau.

Je ne sais pas pourquoi, j’ai trahi ma propre interdiction, « pas de sexe avec un colocataire ». Je lui ai dit qu’il n’y avait pas d’autre solution que de le faire jouir pour qu’il débande. J’ai attrapé sa belle verge pour commencer à la masturber. La chaleur de la « bête » a comme envoûté ma main. Allongée contre lui, je m’éclatais à la manipuler avec douceur, à décalotter doucement son gland. Attirée comme je ne l’ai jamais été avec un homme, j’ai eu envie d’y « goûter ». Je me suis penchée en avant pour lui donner quelques coups de langue (comme une glace, c’est dire dans quel état j’étais) avant de me décider à la prendre totalement dans ma bouche. Ses testicules lisses où nul poil ne gâchait ma vue m’ont aussi beaucoup attirée. Je les ai malaxées avec douceur et même embrassées quand je le masturbais.

Malgré le rhum qu’il avait descendu, Fred a fini par jouir et éjaculer en crachant son foutre sur son tee-shirt. Je me souvient avoir été furieuse parce que j’avais encore envie de jouer avec son sexe. Il a retiré son tee-shirt souillé en s’excusant et n’a pas tardé à débander. Je me souviens lui avoir dit qu’il était vilain et qu’il aurait du me demander la permission de jouir puis, que cela méritait de mettre sa cage de chasteté. Il n’était plus très motivé mais a fini par la mettre. Voir son sexe dans sa cage m’a encore donné envie d’y toucher. Il m’a traitée de sadique, je lui ai répondu que c’était sa punition.

Au bout d’un moment, mes yeux se fermaient, le rhum continuait de faire ses effets, son sexe perdait de l’intérêt, Fred commençait lui aussi à s’endormir. Et c’est comme ça que, sans même éteindre la lumière nous nous sommes endormis l’un contre l’autre. Lorsque je me suis réveillée au milieu de la nuit avec un mal au crâne d’enfer, j’ai eu l’idée de récupérer la clé toujours sur sa cage de chasteté. Cela ne l’a même pas réveillé. Un petit pipi et un cachet d’aspirine plus tard, j’ai rejoins ma chambre. Mon lit m’a aussitôt tendu ses draps, je m’y suis écroulée.

LE LENDEMAIN

Je prenais mon café quand il a débarqué tout honteux dans la cuisine. Hormis le mot « bonjour » il n’y a eu aucun échange. J’avoue que je n’étais pas très fière non plus et que j’avais l’impression d’avoir été une sacrée allumeuse pour ne pas dire un autre mot commençant par S. Quand il m’a demandée les clés de sa cage de chasteté, j’ai refusé. Il me fallait bien reporter sur quelqu’un la colère de mes erreurs de la soirée. Fred a pris sa tasse pour repartir dans sa chambre en bougonnant, cela m’a follement amusée. Je me souviens lui avoir dit d’être sage !

Au repas de midi, il m’a demandée quand je comptais lui rendre ses clés. J’ai botté en touche en lui disant que je ne savais pas encore. Le voir baisser les yeux m’a follement amusée. Une heure plus tard, je surfais sur le forum chasteté de Fessestivites pour y chercher des informations. Les divers témoignages m’ont donnée des idées sadiques. A la suite de quoi, en lisant le témoignage de quelqu’un associant chasteté et couche, j’ai repensé à son histoire d’ABDL. Je me suis donc mise à fouiller le forum ABDL du site et découvert que finalement, j’étais un peu « little » par certaines de mes attitudes.

Little ? « Adule étant encore une petite fille dans sa tête, aimant provoquer, jouer, être insouciante et qui ne se séparera jamais de son doudou. Porte parfois des couches mais pas obligatoirement. Ne pas confondre Little et AB qui signifie Adult baby».

J’ai regardé Lapinou posé sur mon oreiller et j’ai eu envie de le prendre dans mes bras pour lui faire des confidences. En poursuivant mes lectures, j’ai lu que certaines suçaient leur pouce ou ne se séparaient pas de leur tétine. La mienne est encore dans le tiroir de ma table de chevet. Cela faisait bien longtemps que je ne l’avais pas utilisée. Je suis allée la chercher pour poursuivre mes lectures. Les histoires érotiques du site étant bien classées, j’ai passé l’après-midi à dévorer des histoires de Little et de Daddy. Mes préférées était les « Daddy dom » et les textes de DDLG.

Tout cela m’a emmenée à une prise de conscience. Ce n’est pas vraiment le BDSM qui m’attirait le plus, c’est le côté DDLG. (Daddy dom little girl) Du coup, j’ai mieux compris pourquoi sur Fessestivites, certains mecs et certaines filles associent ABDL et BDSM dans leur recherche ou ABDL et fessée. Un nouveau monde s’ouvrait à moi.

Je ne vous ferai pas de confidences érotiques sur les deux nuits qui ont suivies mes découvertes. C’est trop intime ! Disons que j’ai beaucoup fantasmé, cela ira comme ça ? Vous avez besoin d’un dessin ? Là je crois que c’est mon côté Little qui s’exprime LOL !

Pendant tout le week-end, j’ai adoré jouer au chat et à la souris avec mon colocataire devenu chaste. Le lundi soir, quand il est allé faire les courses, il a remmené une bouteille de rhum, du sucre de canne et un pack de six bouteilles de jus de fruits. C’était son tour de faire les courses et la cuisine, je n’avais rien à faire à part surfer. Ce rustre a encore fait un plat mexicain ultra épicé. Le genre de truc qui donne soif ! ! !

J’ai voulu, pour me venger le titiller sur sa cage de chasteté pendant qu’il me faisait un rhum planteur bien glacé. Je n’arrêtais pas de le titiller sur le confinement de son oiseau. MDR. Au bout d’un moment, et deux verres de rhum planteur plus tard, je lui ai demandé de me parler de l’ABDL en appréciant d’avoir un « boy » pour me servir mes verres. Mes provocations l’amusaient et ne le vexaient pas. Cet enfoiré a, en réalité, profité qu’il était devenu « serveur de sa Maîtresse » pour lui charger ses verres.

Le sucre et la glace pilée masquaient bien les fortes doses de rhum, et j’ai fini par perdre ma réserve en lui avouant que je devais être un peu little. Il a trouvé cela très intéressant et m’a tiré les vers du nez. Et moi, comme une gourde, j’appréciais que mon « serveur personnel » soit à mon écoute et me serve à boire. Quand il m’a proposée de me donner une couche pour essayer, je n’ai pas dit non mais je lui ai dit (c’est dire si j’avais bu) que si j’étais little la couche ce serait seulement si j’étais punie ou attachée. Fred a creusé mes fantasmes à la pelle, et moi je n’ai rien vu venir.

Si bien que, quand en rigolant il m’a dit que je méritais une fessée, j’ai dit oui. Le pire, c’est que je me suis levée pour aller m’allonger sur ses genoux en disant que j’avais été très vilaine. Il n’a pas hésité à me claquer les fesses par dessus mon jean. J’ai adoré ça, il me fessait sans v i o l e n c e, sans méchanceté, c’était bon physiquement et mentalement. En effet, il me disait que j’avais été vilaine, que j’avais encore fait des bêtises et que j’étais une gamine insupportable. Quand il m’a dit que pour avoir été aussi vilaine, je serai obligée de dormir en couche, cela m’a excitée.

Ayant une totale confiance en Fred qui est d’une nature très respectueuse, quand il est allé chercher un biberon pour me servir un nouveau rhum planteur, je l’ai laissé me prendre dans ses bras et me le donner. Blottie dans ses bras, j’étais si bien que je m’endormais presque en picolant, pardon, en tétant, enfin les deux quoi. Le biberon terminé, il m’a soulevée et portée jusqu’à sa chambre où il m’a déposée sur son lit. Je l’ai regardé fouiller dans son placard et j’ai vu qu’il prenait une couche et un joli body. Tout cela m’amusait follement, j’étais devenue une petite fille. Il m’a complètement déshabillée sans que je n’y vois du mal, il est retourné à son placard chercher du talc.

J’ai adoré la douceur de la poudre sur mon sexe et même quand il l’étalait. Fred a ensuite posé la couche sous mes reins et l’a refermée avec beaucoup d’attention. Quand il m’a fait des bisous sur le ventre, j’ai eu une crise de fou rire. Avec toujours autant de douceur dans ses gestes, il m’a enfilé le joli body avec les nounours puis m’a couchée dans son lit en me disant d’attendre sagement pendant qu’il allait cherché un dernier biberon. Je savais que ce n’était pas raisonnable mais j’en avais envie. Lovée contre lui avec la tête sur son bras protecteur, j’ai adoré être redevenue une petite fille. En fait, je crois que je le suis vraiment un peu.

Quand j’ai voulu me lever pour aller me coucher dans ma chambre, le plancher bougeait sous mes pieds. La tête de mule que je suis à insisté et c’est de justesse qu’il m’a rattrapée pour pas que je m’écroule. Et là il a dit le mot magique qui allait me piéger !!!

« Si tu n’es pas sage je t’attache au lit » !

Comme il entrait en plein dans un de mes fantasmes, j’ai répondu que je ne serai pas sage. Sa réaction n’a pas été longue. Une minute plus tard, mes poignets étaient menottés et accrochés aux barreaux de la tête de son lit.

ET LA cet espèce d’enfoiré m’a allumé grave. Il s’est levé et a attrapé un de ses sextoys qui vibrent en me disant que l’heure de la vengeance avait sonnée. Cet enfoiré (bis) l’a promené partout sur mon corps. Cela me faisait rire au début, même quand il l’a fait descendre entre mes cuisses. Au bout d’un moment, rire et vibrer quand on a picolé, cela donne envie d’aller faire pipi. C’est à sa réponse que j’ai compris qu’il m’avait piégée.

  • Non, tu as une couche c’est fait pour servir et t’empêcher de te toucher comme une vilaine fille !

Cet enfoiré (ter) se vengeait de l’avoir mis sous cage de chasteté. Il s’est amusé pendant un long moment à me rendre folle de désir avec son vibro et cela, malgré mon envie de faire pipi. Il a arrêté son vibro pour me faire des tonnes de câlins et de bisous. Il caressait mon visage, faisait des tas de bisous doux sur mon front en me disant de me laisser aller. Comme je refusait, il s’est allongé sur moi et a continué ses bisous dans mon cou, le haut de mes épaules. Ses mains me caressaient partout mais sans faire de réels gestes sexuels. Je l’ai traité de tous les noms mais rien n’y a fait, j’étais piégée par un monstre de douceur. De douceur mais un monstre quand même. Quand ma vessie a rendu l’âme, j’ai cru que j’allais jouir. Ce n’était pas loin, il ne manquait pas grand chose.

Fred s’en est rendu compte parce que tout mon corps s’est mis à vibrer. Ses caresses sont devenues plus douces, il a accompagné mon premier pipi couche de petits bisous sur mon front. Quand j’ai été soulagée, apaisée j’ai encore merdé !

Oui j’ai encore merdé car j’ai répondu à ses bisous. Ce n’est pas lui qui a commencé c’est moi. Ses lèvres attiraient les miennes comme des aimants. Nos langues se sont mises à tournoyer ensemble, à faire la danse du diable. On se mangeait à grands coups de bisous voraces. Quand il m’a demandée si j’en avais autant envie que lui, j’ai encore merdé.

J’ai encore merdé quand il m’a dit qu’il avait besoin des clés de sa cage de chasteté. J’ai répondu trop vite sans négocier ma libération. J’ai essayé dés son retour mais il a refusé de me retirer les menottes. Il a recommencé à harceler mon cou, mes épaules de bisous, ses lèvres devenaient sadiques tant elle me donnaient envie de plus. Je ne pouvais rien faire pour lui échapper et j’ai adoré être attachée et subir ses câlins fougueux. Il a dégrafé mon body d’une main et quasiment déchiré la couche tout en me mangeant comme un affamé. Il s’est arrêté pour mettre un préservatif, et a profité que j’étais attachée pour me donner du plaisir sans que je puisse lui rendre en caresse, en étreinte. Je n’ai jamais joui aussi vite. Le sentiment de possession était total, je devenais sa chose et honteusement heureuse de l’être.

Nous avons fusionné longtemps, j’ai joui plusieurs fois en lui disant qu’il était méchant s’il s’arrêtait, hélas, il a fini par craquer et se laisser aller en gémissant dans le creux de mon épaule. Sans se retirer, il a continué de m’embrasser, d’embrasser sa victime, la victime à qui il a changé la couche avant de la serrer dans ses bras après avoir éteint la lumière.

Chaque fois que je lui ai demandé de me retirer les menottes, il me caressait avec amour en me disant demain. J’ai fini par sombrer dans les bras de Morphée et les siens. Au petit matin, il a refusé de me libérer quand j’ai eu envie d’aller faire pipi, il m’a encore fait des bisous en me disant « plus tard bébé ». « Je ne suis pas un bébé » a été ma réponse et, au lieu de me libérer, il est allé me chercher un biberon de café.

Il a retiré mes menottes à condition que je boive mon biberon avant d’aller aux toilettes. J’ai répondu que j’étais d’accord s’il acceptait de remettre sa cage de chasteté et de me donner les clés. Il a accepté et j’ai joué le jeu. J’ai bu mon biberon de café en faisant une pause en cours de route pour lui dire que je faisais pipi sur lui. En guise de réponse j’ai eu droit à un gros bisou rapide et à la réinsertion de la tétine du biberon entre mes lèvres.

Je m’étais jurée de ne pas coucher avec un colocataire. Tout faux ! Et même pire, je suis devenue sa little. Mais je me venge, il doit être très gentil avec moi s’il veut être libéré de sa cage de chasteté et me faire l’amour. Alors comme je suis « juste un peu joueuse », je le cherche souvent pour avoir des fessées. Et quand il me donne une fessée, je peux ajouter un jour de cage de chasteté en plus parce qu’il a été méchant.

Tout cela n’entre dans aucune des pseudos « conventions » du BDSM ou de l’ABDL ou même du monde de la fessée.

Je sais quand dans le narcissisme contemporain actuel, ceux qui pratiquent le Djiad virtuel permanent chassant les infidèles de leur propre idéologie, trouveront cela incohérent, mais on s’en fout royalement, nous sommes heureux comme ça, ne leur en déplaise

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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